L’acte du graff prend son essor dans la volonté d’afficher une opinion, une vision du monde.

Il s’agit d’une posture active, invasive et réactive qui s’implante dans l’espace public. Il crée ainsi une mémoire graphique qui s’efface et se recouvre à l’image du palimpseste.

Ce geste de l’artiste s’incarne dans une trace, comme une chorégraphie éphémère.

Le dispositif présente une dimension interactive à travers une application où chaque citoyen est invité à participer au contenu graphique produit par la machine.